Ce fut juste le temps de voir s'il y a du nouveau car les oiseaux migrateurs arrivent, se reposent et continuent leur route. A moins que la météo ne vienne perturber leur migration ou encore mieux ils s'y plaisent pour passer un bel été à la Haute-Île.

Un des pouillots véloces dans le gui. A noter qu'il reste des fruits, la grive draine n'a donc pas tout mangé.

Une scène de quelques minutes au cours de laquelle les passereaux se sont passés l'alerte. Voici celui qui leur a fait peur !

Si vous n'êtes pas habitué à le voir sous cet angle, le voici bien plus reconnaissable... cet épervier d'Europe.

Je n'étais pas encore entré dans le parc que ce prédateur venait chasser parmi les peupliers.

Mais attention il y a eu une alerte juste avant celle-ci. Le rapace, nom donné à défaut d'identification, a traversé la zone pour continuer sa route. Une opération réalisée par deux éperviers ?

Voyons maintenant ce que l'on peut voir à la Haute-Île.

Un tarier pâtre dans le caniparc, avec une vingtaine de pouillots véloces...

.... Un pouillot vu du dessous. Les couleurs sont simples et sa fragilité tout à fait visible.

Une bergeronnette grise en plein festin car ce caniparc attire les insectes !

Un couple de fuligules milouins, toujours présent.

Un pouillot au ras de l'eau.

Un rougegorge familier (la végétation m'a joué un drôle de tour, il est un peu flou).

Le premier couple de grèbes huppés actifs au tour de son nid. Pour l'instant cet endroit est sélectionné pour leur première incubation de l'année.

Juste à côté trois bernaches du Canada en promenade. Ces deux derniers seraient-ils un couple ?

Un pouillot passe en revue l'îlot flottant.

Un couple de fuligules morillons est également passé. Ici nous ne voyons qu'une bernache et le fuligule mâle.

Notre couple de canards souchets est résident. A l'abri des regards ils se reposent.

Pour finir cette série de couples, un chardonneret élégant. Un petit groupe ne faisait que passer.

Fin de cet article

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