365 - Printemps, comment se laisser séduire : 02/04/2018
02/04/2018
Météo : givre et soleil
Le site est... en Côte d'Or, à Arc-sur-Tille. Une Fauvette passerinette se trouvait à la base nautique pendant quelques jours... Je connais le site et je me dis après tout le Balbuzard pêcheur pourrait s'y trouver.
Ce fut un échec sur les deux lignes. Mais quelques heures m'ont bien apporté des satisfactions.
A l'arrivée, les Hirondelles rustiques attendent patiemment sur les fils le soleil. A partir de ce moment elles pourront voler et repasser à ras de l'eau.
Chez lez Rustiques les mâles arrivent les premiers.
La température est basse, les Hirondelles rentrent leur tête entre les épaules.
Plus tard. Les voici en action au-dessus de l'eau.
Un Tarin des aulnes, qui a failli me faire croire au Sizerin.
Dans une zone boisée une Sittelle torchepot. Toujours avec son bandeau noir sur les yeux.
En cette période les Passereaux comme beaucoup d'autres espèces changent de couleur, de comportement et les cris sont plus développés.
Là, c'est une capture que je refuserai jamais ! Un Bouvreuil pivoine ! Mon rêve. En gros plan dans un cadre naturel. Sur cet arbre en fleurs, c'est excellent.
Je n'ai pas fait attention aux cris d'alerte. Au dernier moment j'arrive à capturer une Buse variable.
Oui, les Grosbecs casse-noyaux sont nombreux. Ils remontent !
Même posés très hauts dans les arbres ils fuient les hommes. C'est dommage pour nous car ce sont des Oiseaux magnifiques.
Les Fauvettes à tête noir sont en action. Les mâles courtisent les femelles. Pas de photo de ces moments à cause de la végétation. A défaut une femelle, tranquille.
Le Pinson des arbres est commun. Mais en cette période les mâles sont des couleur très développées. Leur plumage est "canon".
Un petit tour et puis s'en vont... Je quitte Arc pour retourner à Savigny-le-Sec. Toujours en Côte d'Or.
Le jardin est revêtu de Fleurs magnifiques. Je ne sais pas comment elles sont arrivées là.
Elle est la première de l'année (j'exclue celle trouvée au bord de Marne pendant les inondations, délogée de son petit coin bien chaud).
Elle a 7 points noirs et elle est bien de chez nous.
Cette Coccinelle se lance dans l'aventure. Normalement, elle ne devrait pas avoir de difficulté à trouver un compagnon et de la nourriture.
Une arrivée d'une dizaine de Grosbecs casse-noyaux dans le Noyer. Une première ! Mais leur peur de l'homme pourrait très bien les pousser à quitter le spot rapidement.
La seule solution : rester, sans mouvement.
Mesdames Grobecs casse-noyaux
A ne pas délaisser totalement, les Moineaux domestiques qui ne peuvent être que sauvages. Le mot domestique est trompeur.
Un arbuste bien feuillu leur sert de repère, de protection et de bar à chat !
et un Milan noir de passage !
Ce fond de jardin est collé à trois autres. Cet ensemble est particulièrement accueillant grâce aux arbres, grands ou feuillus.
Habituellement je ne vois que le Grosbec en hiver. Au printemps, c'est plutôt une bonne nouvelle.
Se posent également les Chardonnerets élégants.
Également des Tarins des aulnes... quatre, s'il vous plaît !
En les regardant rapidement on pourrait se faire piéger : Sizerin ou Serin cini. Il faut absolument les regarder soigneusement.
Les Verdiers d'Europe sont présents mais la photo n'est pas top.
Par contre il y a du Lichen et encore des Fleurs à vous montrer : du jardin et vues le long d'un chemin menant au bois.
Sur les hauteurs du village. Bien à découvert des Anémones pulsatilles, mais avec une appli sur le web j'obtiens une autre espèce : Anémone des prairies (Anemone patens). Alors laquelle ?
Elles ont une forme proche de la Fleur du trèfle. Vues dans un ancien pré à cheval.
Celles-si sont les plus basses. Un peu de gymnastique ne fait pas de mal.
Fin de cet article.