Nous commençons tout de suite par deux Pics épeiches. De grands joueurs dans les Peupliers le long du canal. Cliquez sur les photos pour les agrandir.

231 - Il y a du monde aux balcons ! : 27/02/2016

Le temps d'échanger quelques mots avec les gardiens que des passereaux arrivent un par un puis par petits groupes pour être une trentaine sur le même arbre.

Ils sont au soleil et le froid les a fait descendre chez nous. Ces Tarins des Aulnes sont magnifiques. Plus ils sont nombreux plus c'est top !.

Ils sont si nombreux qu'ils vont mettre en évidence le mode de développement de l'Aulne.

Du tronc partent les branches. Elles sont toutes bien espacées. Elles frisent même le parallélisme.

Ils sont tous à chercher leur nourriture dans les cônes et les chatons, qui, eux aussi, poussent à espace régulier.

Ces branches superposées facilitent la photo en portrait pour donner l'image d'un immeuble très naturel.

Ils étaient nombreux et en restant sage ils restaient. J'en ai profité pour photographier les mâles et les femelles. Chose que j'avais ratée il y a quelques années.

Avant que le soleil ne soit trop haut je me suis dépêché d'aller dans un coin tranquille.

Rien par les ouvertures, les Sarcelles d'hiver sont cachées. Par contre une série de cris d'Oie attire l'attention car je ne pouvais pas mettre un nom.

Elle passe par-dessus l'observatoire puis, coup de chance, elle fait demi-tour.

Elle arrive en face, il n'y a plus qu'à !

Si vous ne voyez pas de qu'il s'agit, la voici de travers.

L'Oie à tête barrée s'est vite posée près des deux Bernaches du Canada.

A peine vues elles s'enfuient.

Ce fut court mais l'Oie à tête barrée s'ajoute à la liste des espèces photographiées ou vues à la Haute-Île.

Ça ne parait pas comme ça mais le niveau d'eau a beaucoup augmenté. Il n'y a plus de bord dégagé là où poussent les Saules.

Le grillage pour les Solognots est dans l'eau.

Deux petites curiosités : cette boule difforme sur une branche. Un Champignon ?

La seconde est cette plume sortant d'un bourgeon. C'est troublant !

Les oiseaux d'eau sont calmes. Le froid ralentit leur rythme de vie.

Il est fidèle au poste ! Le Faucon crécerelle se repose et son conjoint est à la chasse.

Coïncidence ou pas il a quitté son vol stationnaire lors de l'arrivée d'un Grand cormoran.

Sur une autre eau, c'est le stretching du Grèbe castagneux.

On peut alors voir ses doigts palmés et la petitesse de ses ailes.

Juste en face de l'entrée il y a cet Écureuil roux. Il a complètement détourné mon attention car ils étaient deux sur le tronc.

Pendant que le mâle pique une tête, la femelle pose ! Dame Morillon se plait au soleil.

Il y a un locataire depuis quelques jours à la Haute-Île.

Il est discret et on peut devenir sa présence dans le silence.

Ses coups de bec sont continus. Il est de la même famille que le Pic épeiche, Pic vert, pour ne citer que les espèces présentes sur le site.

Il est de la taille d'un Moineau et c'est curieux de voir un Pic épeiche aussi petit.

En quelques photos la chasse au Pic épeichette au travers des arbres, tellement fournis en branches que ce fut difficile de le voir correctement.

Ce travail incessant nécessite quelques pauses. La bonne occasion de photographier ses ailes et voir l’alignement des tâches noires.

Il a fallu attendre l'arrivée de passereaux pour le voir se déplacer plus haut dans l'arbre.

Ce fut court car il a préféré rester à la même hauteur car les arbres lui offrent plus de possibilité de nourrissage.

La technique de chasse de la Bergeronnette grise est simple : rester à côté des bouses d'Highlands Cattles pour capturer les mouches.

Une seconde arrive. Attirée par l'espoir d'attraper quelques créatures.

C'est la mi-journée, les Fuligules se reposent de nouveau.

Cet article se termine par l'observation d'une Bécasse des bois.

La première fois je pensais à une Bécassine mais en échangeant les informations on peut confirmer la présence de cette espèce sur ce site.

Fin de cet article.

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