276 - Ce n'est jamais pareil, la patience fait la différence ! : 10/12/2016
10/12/2016
Météo : du froid, du gel et de la pollution plus que regrettable !
Voici donc un résumé de la visite. Des photos et des photos faites à pied, une emprunte carbone = 0 !
Nous commençons par des joncs poussant juste à côté du canal de la Marne. Un endroit idéal pour voir quelques espèces d'Oiseaux fort sympathiques.... Patientons, ils vont bien venir un jour...
Cet Oiseau est connu de tout le monde. Il nous accompagne le matin pour la bonne humeur et pour la photo il donne aussi du plaisir. Il est venu boire un petit coup !
Elle essaie de passer inaperçue sur cette branche, côté friche de la Ville Evrard. Cette Buse variable est fidèle au site. Ce n'est pas dû au hasard.
Les Grives sont nombreuses et variées : musicienne, mauvis, litorne et draine.
Celle-ci est une Musicienne.
Aux cris charmeurs le Chardonneret élégant se régale, à la condition que l'on essaie pas de l'attraper pour le vendre et le mettre en cage.
A cause du gel les Canards sont sur la terre ferme. Ca dort et ça se bouscule pour avoir une bonne place au sec.
Les zones claires sur leur plumage aident à les repérer. Il y a de plus en plus des Sarcelles d'hiver à la Haute-Île.
Un Pic épeiche en quête de nourriture. Cet arbre est parfait pour lui.
Deux passereaux visibles mais tous deux n'ont pas la même manière de se montrer. L'un cherche à vous voir et le second se cache dans les buissons. Il faut alors le suivre pour le photographier à la sortie.
Voilà les Grives (mauvis essentielleemnt) et un Passereau que je n'arrive pas à identifier.
Enfin ! Un Renard roux, j'ai l'impression d'avoir vu le dernier il y a un an. Le temps devient long quand les espèces animales se raréfient.
Ces Eglantiers attirent aussi les Mésanges bleues.
Celle-ci est une Grive litorne.
Ils cherchaient partout, surtout là où les restes de mûres sont nombreux. Accenteurs mouchets et Chardonnerets élégants festoient.
Les travaux à la Haute-Île semblent finis. On voit bien les zones créées pour la roselière.
On verra dès cet été. Si le Blongios nain ne vient pas d'autres espèces profiteront de l'aubaine. Les arthropodes ne nous sont pas visibles mais ils seront suffisamment nombreux pour y vivre et alimenter nos limicoles.
La glace surprend plus d'un. Une Mouette rieuse repère une proie et heurte son bec sur le miroir. Ici une Corneille noire marche sur l'eau solidifiée. Elle n'est pas du tout à l'aise. C'est l'occasion de voir ses griffes.
En trois photos l'envol d'une Sarcelle d'hiver.
Un Canard siffleur, femelle, est toujours là. C'est drôle de la voire se nourrir. Elle s'est constituée un menu : de l'herbe de la terre ferme et des déchets flottants. Alors à droite puis à gauche et je recommence !
La Cane siffleur est craintive. Même en compagnie de Canards colverts et de Canards chipeaux elle garde ses distances.
Ce Héron cendré a vu une proie potentielle mais en voyant sa capture dans le bec je crois qu'il a été désagréablement surpris.
Un Goéland est sans doute un Leucophée mais un expert en l'espèce dira son nom sans problème.
Alors, ce couple de Canards chipeaux va-t-il se faire un bisou du bec ?
Pour la énième fois la Cane siffleur vient se nourrir grâce aux déchets coincés par la glace.
Mais face au Cygne tuberculé elle a un petit souci.... Il y a un rapport de poids et de caractère. Comment sortir de cette impasse ? Marcher sur la glace bien sûr !
Lui avec son long bec est une menace pour la Cane. Mieux vaut s'éloigner.
Son échec cuisant l'a calmé. Il opte la position statue et tête entre les épaules !
De l'autre côté du bras de terre. D'autres Sarcelles d'hiver profitent du calme. La barrière est juste à côté, la présence humaine n'est pas la bienvenue.
Curieusement ce mâle s'est éloigné puis il revient vers le bord de l'eau. En longeant du regard le bord je découvre une Bécassine des marais. Le temps d'appuyer sur le bouton et hop c'est la fuite.
Parce qu'il fallait rentrer je quitte ces Oiseaux pour un..... Faucon crécerelle.
Un jeu : se rapprocher progressivement. Un résumé en photos bien entendu.
Toutes les photos ont été agrandies mais la taille retenue est la même pour que vous voyez bien à quel point le rapace a été vu de près, soit moins de 20 mètres.
Pour terminer cette synthèse :
- une seconde Bécassine des marais. C'est bon la boue ! On ne sait pas ce qu'elle y trouve mais c'est certainement du BIO !
- et, un Champignon tout menu au début, puis il prend une forme de parapluie avec des lamelles.
Fin de cet article.